La perte d’autonomie des personnes âgées peut entraîner des dépenses importantes pour leur familles, en particulier lorsque l’aide de l’État ne suffit pas à couvrir l’intégralité des frais de prise en charge. Le rachat de crédits peut alors les aider à rééquilibrer leur budget.

Des coûts souvent trop élevés pour la majorité des Français

Aujourd’hui, près d’un quart des Français ont plus de 60 ans et la question de la dépendance des personnes âgées est de plus en plus souvent au centre des préoccupations des pouvoirs publics. Or, selon une enquête réalisée par TNS Sofres et la Fédération hospitalière de France (FHF), à peine plus d’un tiers des personnes âgées pourraient payer elles-mêmes leur maison de retraite, ce qui implique une prise en charge de leurs frais d’hébergement par les pouvoirs publics… ou par leurs familles.

Dans ce dernier cas, l’enquête révèle que 47% des familles se déclarent capables de s’acquitter du coût moyen mensuel de 2.200 euros pour un hébergement en maison de retraite, sachant que pour 30% des Français, la perte d’autonomie d’un proche est d’ores-et-déjà une réalité.

Faire face aux dépenses grâce au rachat de crédits

Une solution pourrait venir du rachat de crédits, cette opération qui consiste à regrouper les dettes et les emprunts sous une seule et même ligne de crédit rééchelonnée dans le temps. L’un des avantages du rachat de crédits réside dans l’économie apparente réalisée sur le budget mensuel (même si le coût du crédit reste au mieux identique, si ce n’est que son échéance est repoussée dans le temps). Grâce à cette trésorerie nouvellement dégagée, les familles peuvent alors répondre à leur obligation de contribuer aux frais d’hébergement de leur parent âgé, complétant ainsi l’aide de l’État.

Enfin, avant même que la question de la dépendance ne se pose pour eux-même, ils pourront envisager de payer tous les mois une assurance individuelle qui couvrira tout ou partie des effets de leur propre perte d’autonomie.

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